En détention préventive depuis novembre 2017, Assane Diouf attend son jugement. Une situation qui inquiète du côté des États-Unis.
Les défenseurs des droits de l’Homme, la Cour suprême des États-Unis et la Cour d’appel d’Orléans ont adressé des correspondances aux autorités sénégalaises pour exiger la tenue du procès de celui qui est désigné «l’insulteur public».
Selon Les Échos, qui fait la révélation, pas moins de neuf lettres ont été adressées à Dakar. D’abord, le 27 février dernier, c’est le secrétaire général d’Amnesty international qui dénonce l’injustice que subirait Assane Diouf.