Le Ministre des Finances, Cheikh Diba, a mis fin au suspense à l’Assemblée Nationale : face à la crise récurrente et aux grèves estudiantines, les nouvelles autorités lancent un grand audit sur la gestion des bourses dans les établissements supérieurs !
Après l’audit de la masse salariale, le Ministre Diba a été catégorique : « Nous auditerons tout ce que nous pourrons auditer. » Objectif ? Mettre fin à des décennies de gestion opaque qui ont fait du retard des allocations un « épineux problème » et une source de tension constante.
Alors que les étudiants de Saint-Louis (CESL) maintiennent un mot d’ordre de grève de 96 heures pour dénoncer le retard, et que l’UCAD sort à peine de violents affrontements, Cheikh Diba assure que les caisses sont ouvertes :
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104 milliards de F CFA sont budgétisés cette année pour les bourses.
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Plus de 24 000 étudiants ont déjà été payés mardi dernier.
Le Ministre de l’Économie n’a pas hésité à jurer : « Ce n’est pas notre gouvernement qui empêchera les étudiants de percevoir leurs allocations. »
L’audit annoncé est donc la réponse radicale pour garantir la transparence et assurer que l’argent arrive bien aux étudiants et non dans des poches obscures. Le gouvernement est déterminé à éteindre le feu des campus par la vérité des comptes.
Ce texte percutant met en évidence:
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L’action forte: L’audit (comparé à celui de la masse salariale).
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La source de la tension: La crise des bourses et les grèves (UCAD, Saint-Louis).
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Les chiffres clés: 104 milliards et 24 000 étudiants payés.
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La position du pouvoir: Le serment du Ministre Diba.
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Le contexte politique: L’ère Sonko/Diomaye face à l’héritage d’une gestion opaque.