C’est dommage de constater que la clameur influe négativement sur les décisions de nos dirigeants actuels, qui ont fini de nous installer dans un mode de gouvernance où l’émotion et le lobbying prennent le dessus sur les principes.
Adja Astou a donc été victime du juridisme du buzz tout comme ceux qui s’étaient réjouis de son arrestation et avaient ignorés les appels au pardon.
Ce juridisme du buzz a emprisonné le samedi , il a libéré le dimanche. L’Etat de droit est ainsi torpillé et ignoré.
Avant qu’elle ne prenne cette tournure malheureuse, cette question pouvait donc être gérée de manière beaucoup plus sereine et moins populiste.
Néanmoins, nous saluons, les positons de nos compatriotes dans leur diversité ethnique et religieuse qui, globalement, ont fait preuve d’ouverture et de conciliation pour un dénouement heureux de cette affaire. Particulièrement nos parents séréres qui ont brandi l’arme du cousinage à plaisanterie pour exiger le pardon.Vive le Sénégal uni dans sa diversité.
Que Dieu nous garde.
Thierno Bocoum
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