Une solution a été trouvée au terme d’une longue entrevue au cours de laquelle le Chef de l’État a coupé la poire en deux.
En effet, une moitié du terrain, objet de litige, est attribuée à la mairie où l’État s’engage à construire un lycée et l’autre partie revient à la construction d’une brigade de gendarmerie. Par la même occasion, le titre foncier du stade de Ngor a été affecté à la commune.
Une décision qui profite aux deux parties. Et l’édile de la commune, Maguèye Ndiaye, de saluer la diligence du chef de l’Etat et les propositions faites pour calmer les ardeurs.
Il appelle au calme et rejette toute tentative de récupération politique de cette affaire.
