Reporter Sans Frontières (RSF) s’est intéressé, dans un tweet, à l’arrestation du journaliste Cheikh Yérim Seck, poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation, placé en garde à vue. Et c’est pour rappeler que « les délits de presse présumés ne devraient pas faire l’usage de mesures privatives de liberté ».