La colère gronde et les voix s’élèvent. Des victimes d’une vaste opération d’escroquerie immobilière ont récemment fait face à la presse, dénonçant publiquement une arnaque qui les prive de logements qu’ils estiment avoir légalement acquis. Au cœur de leurs doléances, une interpellation directe au nouveau Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), sommé de trouver une solution à leur calvaire.
Ces citoyens, qui se considèrent comme les légitimes acquéreurs de ces habitations, se retrouvent pris au piège d’un imbroglio juridique et financier. Leur intermédiaire principal dans cette transaction aurait eu des démêlés avec la justice, semant le doute et la confusion. Conséquence : une partie des victimes avait suspendu leurs versements, se voyant promettre un remboursement avec une décote de 10 à 20%. Une proposition qu’elles avaient, par dépit, acceptée, mais qui, à ce jour, n’a jamais été honorée.
Le désespoir grandit et l’espoir repose désormais sur l’intervention du nouveau leadership de la CDC. Ces victimes appellent à une résolution rapide et équitable de cette affaire qui entache la confiance publique. Leur cri de détresse est un appel à la justice et à la transparence, des principes fondamentaux que le nouveau régime s’est engagé à défendre.