Parcelles Assainies : La terrible histoire d’un lycéen de 23 ans qui couchait avec sa copine de 12 ans

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Sennait, 21 years old, lies on the bed in her shack, based in a red light area of Addis Ababa. Sold at the age of 8 years, manages to escape from the man who abused her. His greatest desire is to rebuild a true life. The girls who are forced to marry face a number of problems, and often suffer health problems as a result of having sexual relations from an early age. These girls are being violated physically and emotionally. Child marriage was a major issue raised by the 2007 United Nations Commission on the Status of Women. A U.S. resolution to reduce the practice was passed, encouraging countries to take actions. In Ethiopia the legal age to get married is 18, the law quite often is ignored. Addis Ababa, Ethiopia, on thursday, Febrary 19 2009... In a tangled mingling of tradition and culture, in the normal place of living, in a laid-back attitude. The background of Ethiopia’s "child brides", a country which has the distinction of having highest percentage in the practice of early marriages despite having a law that establishes 18 years as minimum age to get married. Celebrations that last days, their minds clouded by girls cups of tella and the unknown for the future. White bridal veil frame their faces expressive of small defenseless creatures, who at the age ranging from three to twelve years shall be given to young brides men adults already. To protect the identities of the recorded subjects names and specific places are fictional.

Quand une fille fugue et trouve refuge chez son petit-ami où elle décide de passer la nuit dans le même lit que celui-ci, le risque de conjonction sexuelle devient réel et grand.

La gamine S. Ng, 12 ans, a appris cela à ses dépens. Son présumé violeur a été interpellé puis déféré au parquet, le vendredi dernier, par les hommes du nouveau commissaire de police des Parcelles Assainies de Dakar, Marème Diao.

Le garçon S. Diouf s’est tiré une balle dans le pied. L’élève en classe de Terminale d’un célèbre établissement scolaire de la banlieue dakaroise s’est en effet retrouvé mêlé à une gravissime affaire de mœurs avec une fille de 12 ans. Et il court du coup le risque de se retrouver longtemps derrière les barreaux, sans compter l’examen du baccalauréat de cette année scolaire, qui pourrait lui filer entre les doigts ou plutôt lui passer sous le nez, pour le délit de détournement de mineure.

Jusqu’où peuvent aller la témérité et l’audace d’une mineure fugueuse

L’adolescente a auparavant profité du voyage de sa mère à Touba, le mardi 26 décembre, pour se rendre nuitamment dans la chambre de son amant, S. Diouf. Tous les deux se retrouvent seuls dans la pièce et passent de longs moments de discussion galante. Mais, à 20 heures passées, soufflent nos sources, Diouf s’inquiète pour la gamine et lui demande de rentrer chez elle. D’autant plus qu’il commence à se faire tard.

Mais, la petite fait la moue, relance son amant avec une autre conversation et tente de noyer le poisson. Celui-ci reste de marbre, insiste et rappelle l’heure tardive (00 h) à la fille. Qui fronce les sourcils, refuse de s’exécuter et martèle son désir de passer la nuit dans la chambre.

Car ses tantes ont déjà fermé la porte de la maison. Ainsi, Diouf cède à la requête de la fille et dort avec elle sur un matelas à même le sol, en compagnie de trois amis. Mais, aux heures creuses de la nuit, Diouf et la mineure profitent du sommeil lourd des autres et entretiennent des rapports sexuels à deux reprises.

«Je suis amoureuse de lui et je voudrais qu’il devienne mon époux»

Après d’intenses recherches dans le quartier, signalent nos informateurs, la demoiselle a été retrouvée chez son amant puis ramenée à la maison par le petit-ami de sa tante. Pressé de questions, la fille a avoué son forfait et déclare avoir décidé, de son plein gré, de passer la nuit dans la chambre de son prince charmant. Aussi, lâche la gamine devant les enquêteurs policiers des Parcelles Assainies de Dakar : «je suis amoureuse de S. Diouf et je voudrais qu’il devienne mon époux», a laissé entendre la fugueuse.

«Elle m’a dit avoir connu différents hommes ; qu’elle était aussi élève âgée de 18 ans»

S. Diouf n’a pas mis de gants pour reconnaitre les faits et tente de justifier son geste par les déclarations mensongères de la fille. Qui lui aurait dit avoir été chassée de la maison familiale par les membres de sa famille. «Elle m’a dit qu’elle venait chez moi pour que je l’aide à faire ses exercices, et que sa famille l’avait chassée de la maison. Elle m’a déclaré être âgée de 18 ans et élève en classe de 3ème. Outre cela, elle m’a soutenu aussi avoir connu différents hommes dans le passé, notamment son demi-frère et son ex, parti poursuivre ses études en France», a déclaré le mis en cause.

La gamine a déchargé cependant ses deux présumés «bourreaux» sexuels, en l’occurrence son demi-frère et son cousin, lors de sa deuxième déposition sur procès-verbal (Pv) au commissariat de police des Parcelles Assainies de Dakar.

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