L’achat du nouvel avion de commandement par le chef de l’Etat alimente les débats depuis quelques jours au Sénégal. Invité du colloque de Lomé sur l’Eco, le leader de Pastef a évoqué la question.
« Que nos chefs d’État identifient de mauvaises priorités d’investissement, qui coûtent un endettement extrêmement lourd pour le pays, revenir ensuite pleurnicher pour l’annulation de cette dette et à côté, aller acheter, en moins de 10 ans, deux avions de commandement. Ça a ce n’est pas la responsabilité de la monnaie, je suis désolé, il faut l’assumer également », a fait savoir le leader de Pastef qui a participé à ce congrès en mode webinaire.