L’incroyable histoire d’un étudiant sénégalais transformé en gigolo par une « drianké »…

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Un jour je faisais du footing au bord de la plage à côté de l’université. Et là, j’ai été abordé par une femme au bord d’une rutilante voiture qui a l’âge de ma mère qui après m’avoir longtemps regardé faire de la gymnastique, me dit que je lui rappelle son fils décédé. Après une discussion assez triste, elle me refile son numéro de téléphone portable en me demandant de la rappeler. Un appel qui marque le début d’une vie de gigolo.

En effet, quelques jours après cette rencontre, je l’ai rappelée Adja Oumy Ndiaye, c’est le nom que je lui donne. Mais au préalable je me suis ouvert à mes camarades étudiants avec qui je partage la même chambre, sur la rencontre.

Lorsque je l’ai eu au bout du fil, elle me dit qu’elle attendait mon coup de téléphone depuis longtemps. Elle m’invite alors chez elle. Ce que j’accepte. Arrivé à l’adresse indiquée, je me retrouve face à une très belle maison dans le chic quartier de Fann-Résidence. Après avoir sonné, un homme surgit. C’était le gardien. II m’annonce. Je vous assure que ce fut une énorme découverte et une grande surprise. Déjà je traverse au moins quatre salons où je n’ai été accueilli dans aucun d’eux.

Je suis plutôt reçu dans une très belle chambre par Adja Oumy qui me disait, il y a quelques jours, que je ressemblais à son fils décédé. Après les sala­malecs d’usage, elle m’avoue qu’elle était à la recherche d’un jeune homme de mon âge pour lui procurer « du sang frais ». Une proposition que j’accepte, parce qu’éblouie par ce que j’ai vu et tétanisé par ce que je viens d’entendre.

Ce fut le commencement d’une vie de facilité et de délices. Vêtements, nourriture, argent, compte bancaire, tout y était. Son statut de femme mariée ne m’ébranlait pas. Cette vie de facilité a duré 11 mois au cours des desquels j’avais beaucoup d’argent, beaucoup de fringue dernier cri, je ne manquais de rien. La seule contrepartie que je donnais était mon corps et mon sang. Tous les rendez-vous étaient pris en l’absence de son mari. Quand je venais, les domestiques avaient déjà préparé tout ce qu’il me fallait. Viande, nems, j’ai même découvert des plats que je n’avais jamais vu auparavant.

L`enlisement

Un jour, au cours de nos pérégrinations, elle me soumet une demande qui concernait ses copines qui étaient elles aussi à la recherche de jeunes étudiants comme moi, forts, sportifs et discrets pour des parties de jambe en l’air qui les amèneraient au nirvana. Et lorsque j’en ai parlé à mes trois

copains de chambre, ils n’ont pas hésité d’autant qu’ils ont vu le changement vestimentaire et l’argent que je dépensais à gauche et à droite. Adja Oumy orchestre alors une rencontre entre ses amies et mes trois copains étudiants. Ce fut carrément des orgies dans Dakar.

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