Liberté de la Presse :le martyr dans les rédactions

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Liberté de la Presse : La situation paradoxale du Sénégal. Les journalistes vivent le martyr dans les rédactions. Ces patrons de presse qui ne sont rien d’autres que des prédateurs ne vivent que sur le dos des professionnels de l’information et de la communication. 4 ans de stage, 6 ans de contrat de prestation, des contrats de 2ans suivi de salaire miette sur un effectif de 10 journalistes et techniciens de média seul une minorité a un CDI et malgré cette situation défavorable l’information continue en temps réel.   C’est pourquoi je rends un vibrant hommage à tous mes dignes confrères et consœurs Hommes de medias. Bravent ils le sont ; courageux, ils travaillent sans motivation pourtant ils sont au service exclusif de la population. Mais nous devons prendre notre responsabilité. Nous méritons plus. Sous le soleil nous travaillons, nous la pluie nous marchons, dans les crises nous sommes présent, dans les guerres nous sommes au cœur chers confrères soyons fier de notre profession. Mais n’acceptons pas l’esclavage. Personne ne viendra pleurer à votre place. Si vous êtes incapable d’exiger votre droit personne ne le fera à votre place. Je suis fier d’être journaliste mais je refuse l’exploitation quel que soit la structure. Hommage à vous mes très chers confrères continuez à souffrir dans le silence et permettre les prédateurs de remplir leur poche sur votre dos. Pourtant, tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de :
• Célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse;
• D’évaluer la liberté de la presse à travers le monde;
• De défendre l’indépendance des médias; et
• De rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession.Un esclave qui n’assume pas sa révolte ne mérite pas qu’on s’apitoie sur son sort nous dit le Feu Thomas SANKARA.

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