Lebron James s’autoproclame le meilleur de tous les temps.

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Lebron James au-dessus de Michael Jordan ? C’est ce qu’estime désormais la nouvelle star des Lakers, qui a expliqué pourquoi il pense être le “GOAT”.

Goat. Si ce nom anglais se traduit en français par… chèvre, la signification de cet acronyme est bien différente. Car “GOAT” signifie surtout “Greatest of all time”, soit “le meilleur de tous les temps“, un titre honorifique, et bien difficile à attribuer, qui fait beaucoup débat dans le sport américain, et principalement au basket.

Michael Jordan, quintuple MVP de la Ligue, est proche de faire l’unanimité, mais Lebron James (quatre titres de MVP) n’est pas très loin de “His Airness”, même s’il compte deux fois moins de bagues de champion NBA (3 contre 6). Celui qui porte le numéro 23, en hommage à “Jojo”, estime l’avoir dépassé, et il en s’est expliqué dans le nouvel épisode du documentaire “More than an athlete“, diffusé sur ESPN+.

Pour lui, c’est grâce à l’incroyable come-back des Cavaliers, menés 3-1 par les Warriors lors des Finales NBA 2016, pour offrir un premier titre à la ville de Cleveland depuis le sacre des Browns (NFL) en 1964, qu’il est devenu le “GOAT”: “Ça a fait de moi le meilleur joueur de tous les temps. C’est ce que j’ai ressenti. C’était tellement l’extase de remporter un titre avec Cleveland, après 52 années sans trophée. J’ai été une première fois submergé par l’émotion quand tout le monde m’a vu pleurer. C’était pour ces 52 ans, et tout ce qu’il s’est passé avec le sport à Cleveland.

“Tout le monde n’arrêtait pas de parler des Warriors, que c’était la plus grande équipe de tous les temps, la meilleure équipe jamais construite, poursuit-il. Et de réussir à revenir comme on l’a fait, c’était vraiment très, très spécial. C’est probablement l’une des seules fois de ma carrière où j’ai ressenti ça.” Lebron James, qui a entamé sa 16e saison NBA dans une nouvelle franchise, les Lakers (contre 15 pour Jordan, 13 aux Bulls et 2 aux Wizards), mais soigne actuellement une blessure à l’aine, a en tout cas relancé le débat. Et Michael Jordan, patron des Hornets, pourrait bientôt être relancé sur ce sujet, qui n’a pas fini d’animer les shows sportifs outre-Atlantique.

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