Yaya Diamé le président Gambien ne devrait pas dormir d’un sommeil du juste. En effet la fermeture de la frontière sénégalaise consécutive à ses frasques est en train d’asphyxier l’économie de son pays. Désespéré, il ne trouve rien d’autre à faire que de dresser les casamançais contre les sénégalais pour se tirer d’affaire.
Tel est pris qui croyait prendre. Cet adage pour le moins burlesque sied bien aux rapports exécrables que le « puissant » Yaya Diamé entretient avec son voisin le sénégal. Sous Wade, l’Union Européenne avait décidé de financer le projet de construction d’un
pont à Farafégné tel qu’il était convenu entre ces deux pays frontaliers. Mais hélas, Diamé s’est rétracté, au final. Quelques temps après, il revient pour faire payer aux camions sénégalais la taxe de traversée du ferry qui passe de 4000 à 400.000FCA. Une véritable folie qui n’existe d’ailleurs nulle part au monde. Et comme à l’impossible nul n’est tenu, les transporteurs sénégalais ont décidé de boycotter purement et simplement cette transgambienne. Aujourd’hui, c’est toute l’économie Gambienne qui est asphyxiée car elle ne repose que sur les recettes d’entrée frontalière. Désespéré, Diamé s’est tourné vers ses parents diolas qu’il a essayé de monter sans succès contre l’Etat sénégalais. Tel est pris qui croyait prendre !Assane SEYE pour sunugal24.NET
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