Selon un groupe d’experts, la molécule du laboratoire portugais Bial testée à Rennes en janvier dernier a causé la mort d’un volontaire. Un effet d’accumulation des doses administrées ainsi que les antécédents médicaux de certains volontaires sont pointés du doigt. « C’est clairement la molécule qui est en cause. L’élément commun entre les victimes, c’est bien la molécule », a commenté Dominique Martin, directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament(ANSM), après la publication lundi 7 mars du premier rapport de ce groupe d’experts, mis en place par l’ANSM.