La fermeture des frontières décidée par les autorités de la Cedeao au niveau de tous les États membres, n’est pas sans conséquences chez les chauffeurs maliens bloqués à Kidira. Ils sont fatigués et très meurtris. C’est le constat fait quand nous avons rencontré des chauffeurs maliens et leurs apprentis à l’entrée de la commune. Ils y vivotent. Manger, boire, ou même dormir, est devenu un calvaire. Il arrive même qu’ils tendent des sébiles. Ahurissant !!!