La coalition Yewwi Askan Wi n’a pas encore atteint sa majorité ; elle veut encore croître. En effet, Khalifa Sall, un de ses leaders, tend toujours la main aux autres formations politiques de l’opposition et aux organisations de la société civile qui n’ont pas encore adhéré à la coalition. Il ne désespère pas de faire venir les partis et coalitions de partis qui refusent, pour le moment, de rejoindre leur coalition.
“Désormais unis et solidaires dans l’action, nous continuons à tendre la main aux partis de l’opposition, aux organisations de la société civile et à toutes les forces vives de Nation”, écrit Khalifa Sall sur sa page Facebook.
Joignant l’acte à la parole, il a décidé d’aller à la rencontre des partis de l’opposition qui n’ont pas encore adhéré à la coalition, selon un membre de son entourage. “Il sait qu’un regroupement de toute l’opposition ne manquera pas de créer “quelques problèmes” au moment des investitures. Mais il demeure convaincu qu’une large coalition de l’opposition peut triompher aux élections locales”, indique notre source qui refuse, cependant de citer les leaders politiques que Khalifa Sall Sall a rencontrés et qu’il cherche à faire revenir à des “meilleurs sentiments”.
