« On sentait depuis deux trois semaines, qu’il était très fatigué et tout le temps, je lui disais : « arrêtes, prends des vacances. Mais le jour où il est parti, ça été brutal. C’est dur. Ce n’est pas comme si pendant six mois vous avez un malade et dans votre tête vous vous dites : « mon Dieu, allégez ses souffrances.»
Et, quand elle parle de son mari, les superlatifs ne manquent pas. « Je ne sais même pas comment parler de lui tellement j’ai utilisé tous les superlatifs : bon époux, bon mari, père attentionné, camarade.»