Thierno Alassane Sall fustige la démarche de la Cedeao au Mali dans le cadre des procédures entreprises pour la résolution de la crise. Il trouve désolant qu’un peuple pacifique soit menacé. Et ceux qui devaient faire l’objet de menaces ne sont pas inquiétés.
“La CEDEAO menace non la rébellion au Nord du Mali, ni Boko-Haram, le MFDC mais l’opposition malienne. La CEDEAO invoque la Constitution pour sauver IBK qui a violé celle-ci par un putsch électoral. Menacer un peuple pacifique là où perdurent des rébellions est signe d’impuissance”, a réagi le leader de la République des valeurs.