4ème Conférence BTP & Infrastructures À Dakar

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Se tient les 14 et 15 décembre prochains à Dakar,  la 4ème Conférence BTP & Infrastructures. Lynda AphingKouassi, directrice générale de Kaizene a fait face à la presse pour dégager les grandes orientations de cette grande messe des infrastructures.

«Nous voulons mobiliser toute l’expertise africaine, de la France et des Etats-Unis évoluant dans le secteur du Bâtiment et des travaux publics (Btp) et des infrastructures pendant 2 jours, à Dakar, pour discuter et échanger ensemble sur les leviers à actionner pour résorber l’énorme défi infrastructurel que connait l’Afrique», a dit Lynda AphingKouassi, directrice générale de Kaizene. Elle faisait face à la presse hier, mercredi, à Dakar ce, en prélude de la 4ème Conférence BTP & Infrastructures le 14 & 15 Décembre à Dakar. «L’énorme défi infrastructurel de l’Afrique peut et doit se résorber par ses fils aux compétences avérées. Et ce, par des rencontres et échanges pour voir ensemble comment mobiliser tous, tant du point de vue des ressources humaines que financières», explique-t-elle. Lors de cette grande messe des Btp, autour du thème: «La croissance économique face aux enjeux infrastructurels en Afrique», plusieurs panels et thématiques relatifs aux questions de financement et de valorisation de l’expertise africaine, entre autres, sont débattues», a-t-elle détaillé.

Sur le choix de Dakar d’abriter cette 4ème édition, elle dira: «D’abord, nos conférences sont annuelles et tournantes et Dakar est un bel exemple de succès en matière d’infrastructures avec la ville de Diamniadio et ses pôles urbains. A travers cette rencontre, nous voulons montrer les talents qu’on trouve au Sénégal et en Afrique de façon générale. Et ensemble voir comment on peut fédérer les synergies pour se développer». Dakar abrite cette 4ème édition du genre, après Johannesbourg  (Afrique du Sud), Abidjan (Côte d’Ivoire) et Londres (Angleterre).

«Aujourd’hui, l’Afrique doit et peut se développer si les compétences sont valorisées. Et nous pensons qu’il est tout à fait possible de se développer à travers des rencontres de discutions et d’échanges du genre qu’on arrivera à comprendre que le développement de l’Afrique est possible», a-t-elle justifié.

«Le choix des infrastructures se justifie par ce qu’elles représentent elles-mêmes. C’est sur les infrastructures que repose tout socle de développement. Et sur ce, nous avons du talent. Nous n’avons nullement besoin de venir d’ailleurs pour se valoriser. Il suffit tout simplement de nous mettre ensemble pour se développer», a-t-elle soutenu.

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