Elle y fait valoir, selon le communiqué, qu’en conservant, après son investiture, les liens capitalistiques qui l’unissent à des centaines de sociétés rattachées à son groupe, Trump Organization, il viole la Constitution.
Un article du texte fondateur prévoit (article 1er, section 9, 8e clause), en effet, qu’aucune personne n’occupant une fonction
publique ne peut, sans l’accord du Congrès, “accepter de cadeau, d’émoluments, de fonction ou de titre de quelque sorte que ce soit d’un roi, prince, ou d’un Etat étranger”. Pour Crew, Donald Trump continue, comme il le faisait avant son élection, de percevoir “de l’argent et des faveurs de gouvernements étrangers, de clients de ses hôtels, de baux immobiliers et de transactions immobilières à l’étranger”.L’ONG mentionne notamment la Chine, l’Inde, l’Indonésie et les Philippines. “Quand le président négociera des accords commerciaux avec ces pays, le peuple américain n’aura aucun moyen de savoir s’il pense aussi aux profits de Trump l’homme d’affaires”, prévient l’organisation.
Pour se prémunir contre d’éventuels conflits d’intérêt, Donald Trump a confié la direction de sa société à ses deux fils les plus âgés ainsi qu’à un associé de longue date, Allen Weisselberg. Il a également placé l’ensemble de ses participations dans un trust, géré par le même Allen Weisselberg. Mais il ne les a pas cédées, ce qui induit donc qu’il est toujours financièrement intéressé au sort de son groupe.
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