«Nous avons constaté que des autorités étatiques ont formé leur conglomérat de délinquants financiers (…) Ces prédateurs fonciers ont mis en place une agence immobilière pour procéder à la vente de ces espaces publics, avec des baux douteux», a dénoncé M. Niane. «On nous avait promis le
paradis et une fois sur place, on se rend compte qu’on nous a projetés en enfer et dans la plus grande incertitude», a-t-il alarmé. Ces protestataires, regroupés en masse à la place publique principale de la cité, ont promis de poursuivre les manifestations pour un règlement définitif de la situation.