En conférence de presse, hier, à l’occasion des 5 ans de sa démission de la magistrature, l’ex juge Ibrahima Dème dit avoir constaté que « la situation de la justice ne s’est guère améliorée », et que « la responsabilité incombe d’abord au président de la République ».
Le président du parti Ensemble pour le travail, l’intégrité et la citoyenneté (Etic) dénonce « un usage excessif et inopportun des poursuites pénales et de la détention dans certaines affaires à connotation politique ». Il estime que cela « renforce le sentiment de la dépendance
de la justice au pouvoir politique ». Il constate que « le pays et notre démocratie sont pris en otage par des hommes politiques de tous bords », entre « la violence d’Etat, les confrontations physiques, les invectives et autres violences verbales ».M. Dème conclut que « face à l’effritement de notre démocratie et de nos institutions, il faut certes une résistance pour préserver notre République, mais ce sursaut de refus ne doit pas être synonyme de violence ». Il a réitéré que la grève et la désobéissance civile constituent des alternatives à la violence.
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