Craignant de se voir chassé du Niger, un de ses derniers partenaires au Sahel après la rupture avec le Mali et le Burkina Faso, Emmanuel Macron a âprement condamné les militaires arrivés au pouvoir depuis le 26 juillet et qui retiennent prisonnier le président renversé Mohamed Bazoum.
« Nous ne reconnaissons pas les putschistes, nous soutenons un président qui n’a pas démissionné, auquel nous restons attachés. Et nous soutenons l’action diplomatique et, le cas échéant, militaire de la CEDEAO, dans le cadre d’une approche partenariale qui est celle que j’ai présentée en février dernier. Ni paternalisme, ni faiblesse, parce que sinon on n’est plus nulle part
» a-t-il lancé alors que Paris est confronté à une remise en cause de sa politique en Afrique et un procès en post-colonialisme dans son ancien pré-carré.L’Assemblée nationale a lancé des travaux de rénovation de la salle des plénières. Les Échos, qui…
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