Dans la commune de N’diaffate, les paysans ne savent plus où donner de la tête. Pour cause, l’absence récurrente des producteurs au niveau des points de collecte.
À keur Samba Thiadji, Vélor et Vélor Thiossé, les paysans qui se désolent de cette situation, ne savent plus à quel saint se vouer. ” C’est la catastrophe dans le monde rural. On n’arrive plus à vendre nos produits et si cela continue comme ça, on n’aura plus d’ici peu de quoi vivre”, confie Samba Sow, producteur de son état.
Non loin de là, plus précisément à keur
Demba Dické, la situation est pareille. Ici, les populations tirent le diable par la queue. ” Non seulement, on ne voit plus les opérateurs, mais aussi on est obligé d’attendre. Déjà, personne n’ose se rendre au marché de Kaolack, car le kilogramme d’arachide est vendu sur place entre 150 et 160 FCfa. Pourtant, l’État a fixé le prix à 210 FCfa, mais on ne peut vendre du fait de l’absence des acheteurs”, déplore Djiby Dièye.Pour l’heure, les populations rencontrées dans ces différents villages, disent prélever sur leurs récoltes pour avoir de quoi se mettre sous la dent. Et pour aller à l’hôpital ou baptiser son enfant, le paysan est obligé de vendre son produit en se soumettant au diktat du marché noir.
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