L’avocat et ancien député a réglé ses comptes vendredi lors d’une conférence de presse, après avoir été interdit de plaider dans le procès de Khalifa Sall.
Me El Hadj Diouf a tapé fort : « j’aurais pu être avocat, mais je vais demeurer l’homme politique qui va combattre ces apprentis-dictateurs. Je serais avec tous les guerriers de la République. Il faut qu’ils s’attendent à ce que je leur apporte la contradiction tous les jours, parce que tous les jours, je vais les massacrer. Je suis un leader politique et su je n’interviens pas, je risque de commettre un délit de non-assistance à personne en danger »
.Il ajoutera : « le pouvoir actuel tremble et c’est le maire de Dakar qui le fait trembler. Le grand maire de la capitale n’est pas à liquider. On ne peut pas le tuer…Le peuple de Dakar doit dire non. Non à la dictature ! Non à la magouille ! ».
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