«Lorsque l’individu s’est présenté pour nous demander de le suivre, K. Sané et moi jouions. C’était dans l’après-midi. Nous avons refusé. Alors il nous a pris la main pour nous obliger à le suivre. Il nous a entraînés dans le bâtiment, nous a bâillonnés et battus, avant de sortir un couteau. Il a baissé mon ma culotte et saisi mon pénis. Quand il a posé le couteau dessus, j’ai crié et lorsqu’il a tiré sur la peau, j’ai réussi enlever le morceau de
tissu avec lequel il m’avait bâillonné et je l’ai mordu à la main. Il s’est précipité et m’a coupé le prépuce. Il s’est retourné vers K. Sané et lui a sectionné le pénis. Nos cris ont alerté des talibés qui, n’osant pas intervenir, sont montés sur la terrasse de la maison contiguë. Ils ont pu ainsi tout voir et ont alerté un passant. C’est ce dernier qui nous a sauvés et conduits au quartier.»En matière de politique extérieure, le duo Diomaye-Sonko danse la tango, c’est-à-dire un pas en…
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