Au Sénégal, 4 mille prématurés, sur 50 mille naissances, meurent par an. Des chiffres répertoriés lors d’un panel organisé par la Direction de la santé de la mère et de l’enfant (DSME), axé sur : « La prévention et la prise en charge de la prématurité et de la pneumonie ».
Le diagnostic est fait par Pr Papa Moctar Faye, pédiatre à l’hôpital Albert Royer, que ces bébés souffrent « de complications » pouvant « être prévenues lorsque la prise en charge est adaptée à l’environnement de l’enfant ».
Repris par Le Soleil, il recommande la
promotion de la méthode Kangourou, consistant à s’assurer que le nouveau-né est en contact « peau à peau » avec sa mère 24 heures sur 24, jusqu’à ce que sa santé ou son poids atteigne celui d’un bébé né à terme.A côté, « il faut faire aussi en sorte que ces enfants ne trainent pas des séquelles qui leur empêcheront d’avoir une vie normale et se développer sur le plan neurologique ». Etant donné, rassure-t-il, qu’être prématuré n’a pas de conséquences négatives sur le devenir de la personne : « Il y a des adultes qui sont nés prématurés, et qui sont devenus de grands leaders ».
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