D’après le communiqué officiel publié le 26 février 2018. Le ministère botswanais des Affaires internationales souligne clairement que le président a «perdu le contrôle de la sécurité de son pays». En ce sens, le communiqué affirme : «Nous continuons d’assister à une crise humanitaire qui empire dans ce pays principalement parce que son dirigeant a sans cesse repoussé la tenue d’élections».
Notons que le Botswana a réagi suite à la tuerie de deux personnes lors de la répression d’une marche pacifique dans la capitale, Kinshasa. C’est la troisième fois en deux mois que des fidèles de l’église catholique défilent à la sortie de la messe pour demander le départ du président Joseph Kabila dont le mandat a expiré depuis fin décembre 2016. Le climat politique est très tendu dans le pays et la répression des manifestations interdites a déjà fait une quinzaine de morts selon l’ONU.Il faute savoir que ce n’est pas la première fois que le Botswana prend position contre la confiscation du pouvoir en Afrique.
En novembre 2017, le président Seretse Ian Khama avait explicitement réclamé le départ de son homologue zimbabwéen Robert Mugabe.
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