La méchanceté et la lâcheté ont un visage et un nom au Sénégal.
-Le 29 août 2016 il s’envolait pour le Kenya après avoir signé le même jour le décret de radiation de l’inspecteur des impôts Ousmane SONKO. Un mois plus tôt, le 25 juillet 2016, il prenait un décret pour mettre fin par anticipation aux fonctions de madame Nafi Ngom Keita présidente de l’OFNAC ;
-Le 18 avril 2018 il s’envolait pour la France après avoir fait convoquer la plénière de l’Assemblée nationale pour une validation mécanique de son “parrainage”. Il s’y fera enfariner et humilier ;
-Le 31 août 2018, il reprend les airs pour la Chine, après avoir signé son décret de tentative de confiscation de la volonté populaire qui a légitimé Khalifa SALL comme maire de Dakar : dernier acte d’une honteuse cabale pour la liquidation politico-judiciaire d’un adversaire craint.
Tout ou presque a été dit sur le caractère illégal, lâche et bêtement méchant de ces affaires qui ne sont qu’un échantillon non exhaustif dans le répertoire d’un homme obsédé par un second mandat et hanté par sa gouvernance nébuleuse. Plus lâche encore est cette propension à fuir le pays après y avoir instauré des tensions vives.
Un de ces jours, une de ces fuites sera sans retour.
Mais le plus inquiétant dans tout ça, c’est l’atonie et l’apathie des Sénégalais face au monstre hideux.
Ousmane Sonko
Le foncier nous tient en haleine. C’est parce que la terre est le seul refuge…
L’Union internationale des journalistes africains a attribué le Trophée Miriam Makeba à Ousmane Sonko. «Dans un…
L’Assemblée nationale a lancé des travaux de rénovation de la salle des plénières. Les Échos, qui…
Le tout nouveau directeur général de l’aéroport International Blaise Diagne de Dakar s’engage à renforcer…
La Cour d’appel de Dakar va se pencher lundi prochain sur le dossier opposant Amy Ndiaye…
Pape Alé Niang a pris ses fonctions à la tête de la direction de la…