Tout est parti des remous sociaux, notamment avec le reportage de BBC impliquant le frère du président de la République, Aliou Sall. En effet, plusieurs voix, en particulier d’activistes, se sont fait entendre. En vertu de la liberté d’expression, certains ont poussé leur ire au summum.
Maurice Soudieck Dione de relativiser ladite liberté, en ce sens qu’elle ne doit
pas permettre de porter atteinte à la dignité d’autrui. ” En démocratie, la liberté d’expression ne confère pas le droit d’insulter, de diffamer ou de dire des insanités à qui que ce soit” , a dit le professeur en Sciences politiques, indiquant que l’Etat a fini par opter pour une stratégie offensive en raison des attaques multiples.Les arrestations des activistes, Adama Gaye et Guy Marius Sagna ont ravivé le débat sur la pertinence de l’Article 80. En effet, nombreux sont les observateurs et les spécialistes qui sont favorables à sa suppression au regard de son usage par les détenteurs du pouvoir. Maurice Soudieck Dione de faire savoir que la disposition doit mettre un bémol. ” On peut enrayer l’Article 80” , dit-il d’emblée avant de renchérir : ” Avant de l’enrayer, il nous faut d’abord une solide culture démocratique” .
Sénégo
Il y a un mois jour pour jour le président Bassirou Diomaye Faye s'installait…
Dans le cadre de leur mission de veille et de surveillance dont ils sont investis…
Une nouvelle embarcation de 57 en Immigration irrégulière vient de chavirer à Saint-Louis vers Gandiole.…
la gestion du Programme des Domaines agricoles communautaires (PRODAC) pour la période de 2018 à…
« Nous attendons que ces rapports ne finissent dans les tiroirs« , a déclaré Seydi Gassama.…
Le président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), Me Augustin Senghor, a exprimé sa…