A chaque fois qu’il y a une tuerie, les gens s’en frustrent quelques semaines, les autorités annoncent ostentatoirement des mesures. Mais rien de concret ne vient annihiler cette folie meurtrière qui plonge tout le monde dans une peur panique.
Coupe-coupes, coutelas et autres arment ses brigands qui fauchent crapuleusement les vies des paisibles citoyens avant de fondre dans la nature.
Le dernier meurtre orchestré sur le jeune Mouhamed Cissé est d’une cruauté qui obligé la réflexion à demander que le législateur autorise la détention d’armes à toute personne mature. Nous avons bien dit détention et pas port d’arme.
Ceci n’est pas la solution indubitable en elle-même, mais elle permet à coup sûr de faire face, de manière dissuasive, à toute éventuelle tentative d’agression.
L’Etat ne pouvant pas assurer la sécurité à tout le monde, en tout lieu, tout temps et en toute circonstance, doit aider le peuple à l’aider à arriver à cet état de fait.
La sécurité globale est le sentiment de sa sécurité par soi-même. Ainsi l’Etat n’étant pas présent partout, tout le temps et en toute circonstance, pour assurer notre sécurité, nous légalise comme ses relais.
Il est inadmissible, qu’on te trouve chez TOI, DANS TA MAISON, TA PROPRE CHAMBRE, et t’abatte comme un vulgaire animal sans que tu n’aies les moyens de te défendre.
Ce qui est arrivé à Kaolack est frustrant… Cet acte barbare va ouvrir la brèche au banditisme meurtrier. Nous devons être capables d’assurer en premier lieu notre propre sécurité : l’Etat vient en appui.
En matière de politique extérieure, le duo Diomaye-Sonko danse la tango, c’est-à-dire un pas en…
Ce dimanche, l’arène sénégalaise a été le théâtre d’un affrontement très attendu entre Sa Thiès…
«J’ai proposé au président Ouattara de convoquer, une nouvelle session de la Grande commission mixte…
Dans le projet gazier Yakaar-teranga, British Petroleum (Bp), s’était retiré du fait de divergences de…
Ce mardi, la Chambre criminelle de Dakar a rendu son verdict dans l'affaire du trafic…
Poursuivis pour violence et voie de fait, D. Diagne et ses voisins, au nombre de…