Ces confidences d’une journaliste sénégalaise qui a un gros postérieur (fesses) en sont la preuve. “Il y a des filles et des femmes qui m’envient et qui n’hésitent pas à venir me le dire. Mais moi, je n’aime pas mes formes, car elles m’empêchent tout simplement de mener une vie calme et normale du moment qu’on se sent persécuté à chaque instant”,
se plaint Marie Bernadette Sène.Dès qu’elle met les pieds dehors, elle doit affronter les regards convergeant vers elle. Gêne, anxiété et parfois angoisse devant certains voyeurs aux intentions louches sont son quotidien.
Avoir un gros popotin, c’est assumer un double poids. Cela ne réussit pas à tout le monde.
Quand ce qui peut paraître comme un atout devient un handicap…
Source : lemagafrik
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