Les Sénégalais n’ont pas encore le reflexe des déclarations de naissance, décès ou autres actes d’état civil. La révélation est de la Direction du développement du capital humain (DDCH) du ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération.
Elle a présenté hier l’étude sur les déterminants socioculturels du faible enregistrement des faits d’état civil, lors d’un atelier de partage, en collaboration avec le réseau des parlementaires pour la population et le développement (RPPD) et l’appui du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP).
Les résultats révèlent des taux importants de non-enregistrement des naissances, de mariages et surtout de décès. Cette situation est causée par l’éloignement des centres d’état civil, la disponibilité du personnel, entre autres facteurs bloquants. La région de Kaffrine est la plus touchée. Le Directeur de la DDCH, Assane Ndiaye, annonce une campagne de sensibilisation des populations parce que sans un acte d’état civil, on est presque inexistant.
L’As
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