L’affaire Guigon n’est pas une simple affaire à cantonner entre patron et employés.
Elle va au-delà. Elle interpelle la conscience collective et les particularités sociales qui font le Sénégal.
Des travailleurs peuvent choisir librement de ne pas prier pendant les heures de travail ou, même, de ne point prier. Ni au travail, ni ailleurs.
Mais lorsqu’ils veulent prier, aucun employeur ne peut s’y opposer formellement. Et c’est ce que GUIGON fait dans sa note de service du 09 mai qui dit clairement « un salarié ne peut pas prier pendant ses horaires de travail ».
Évidemment, on n’ira pas en France, en Guinée ou au Mali nous offusquer du respect de la liberté de culte dans un lieu de travail,
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