Sauf changement, les
deux parties vont se rencontrer aujourd’hui pour entamer les pourparlers. Seulement, prévient Oumar Bâ, le début des discussions n’empêche pas de poursuivre le mouvement d’humeur jusqu’à l’obtention de quelque chose de concret.Il ajoute dans la foulée que si des propositions concrètes allant dans le sens de satisfaire la plateforme revendicative sont faites, ils peuvent lever le mot d’ordre de grève. Le syndicaliste rappelle que plus de 80% des travailleurs suivent le mot d’ordre au niveau national.