“Conformément aux recommandations des textes internationaux et de la Charge universelle des juges, aucun membre de l’Exécutif ne devrait plus siéger au sein d’un organe chargé de statuer sur la carrière des membres du pouvoir judiciaire. Certains ont évoqué des risques de dysfonctionnement, de paralysie ou de corporatisme liés à l’absence de l’Exécutif au sein de cet organe. Même s’il faut reconnaître qu’un tel risque n’est pas à écarter, la réforme du CSM nous semble nécessaire et souhaitable.Il faut juste, prévoir certaines mesures qui seraient autant de garde-fous pour prévenir les dérives observées ailleurs.
La première mesure serait d’élargir la composition du CSM et de l’ouvrir à des personnalités extérieures notamment aux universitaires et à des personnalités indépendantes. La présence au sein de cet organe, de personnalités extérieures est de nature à réduire les velléités de corporatisme ou de caporalisation du CSM.
Un autre garde-fou consiste à augmenter le nombre de membres élus au sein dudit conseil. Plus la proportion de membres élus est importante, moins le risque de caporalisation est grand”.
(SOULEYMANE TELIKO, Ancien Président de l’Union des magistrats sénégalais)
À Dakar, alors que la Tabaski approche à grands pas, les marchés comme celui de…
La Société des pétroles du Sénégal, Petrosen, a concocté plusieurs prêts auprès des opérateurs pétroliers…
« Ce que Macky Sall faisait, on ne veut pas le revivre…« , a déclaré Arona Coumba…
La justice guinéenne a envoyé une commission rogatoire au Sénégal où est installé l’opposant et…
Kylian Mbappé avait un an et demi lorsque la France a gagné son dernier Euro.…
POUR LA CONVENTION, L’ÉTAT N’A PAS LE DROIT DE LAISSER CE STATU QUO PERDURER AU…