D’après L’Observateur, il a fait des confessions détonantes lors de son audition, avouant avoir “expressément acheter l’arme à feu pour les besoins de ce braquage et autres éventuels forfaits similaires.”
Face aux enquêteurs, le mis en cause a été, toutefois, peu loquace sur son acolyte en fuite, ainsi que le mode opératoire mis en place pour dépouiller la victime de 4 millions de francs Cfa. L’enquête se poursuit pour savoir si les malfrats connaissaient leur victime et s’ils l’avaient pris en filature le jour du braquage.
Ainsi, indique le journal, les commissaire Sankharé et ses hommes de la Sûreté urbaine (Su) vont entendre leur collègue blessé par balle, souligne L’Obs.