Au Mali, des organisations et associations de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) battent le pavé à Bamako après avec l’affaire Sidiki Diabaté.
Depuis la publication récente des images choquantes de Mama Sow dite Mamassita, ex-compagne de l’artiste Sidiki Diabaté, les indignations se sont multipliées non seulement sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les rues de Bamako.
Malgré l’incarcération de l’artiste à la Maison centrale d’arrêt de Bamako pour les faits à lui reprochés, une nouvelle ère semble sonnée pour les féministes au Mali.
“Encourager les victimes à dénoncer leurs bourreaux ”.
Voici le message clé de la marche blanche qui a réuni des centaines de personnes, majoritairement des femmes, dans les rues de la capitale malienne.
Pour Mme Dicko Aminata Dicko, présidente de l’association « Solidarus 223 », ce n’est pas une marche contre Sidiki Diabaté, mais plutôt une marche pour demander aux autorités de prendre des mesures immédiates de protection des femmes qui sont les plus marginalisées dans la société.
« Il y a des femmes qui subissent pire que Mamassita. Mais elles ont peur de briser le silence. Et il est impossible de lutter contre les VBG tant que les coupables ne sont pas connus. Dans les milieux ruraux, les femmes sont comme des objets. Elles vivent des horreurs et tortures de tous genres», soutient Mme Dicko Aminata Dicko.
Source : Afrikaleaks
Les allégations de négligence formulées contre l’hôpital Abdoul Aziz Sy de Tivaouane, sur la mort…
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a publié un arrêté le 13 mai 2024,…
La CNPHS est une organisation faîtière qui regroupe, sans exclusive, l’ensemble des personnes vivant avec…
Le leader de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, va entamer du 14 au 18 mai,…
Attraire à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar, F. B. Ndao est…
Le Directeur Général de Petrosen T&S, Manar Sall, a confirmé que les dates de…