Il ajoute que nul doute avec l’ampleur que prend cette affaire et surtout les confessions qui sont de plus en plus faites par rapport à cette affaire au-delà de miss 2020,
il y a lieu, pour apaiser les angoisses sociales et faire en sorte que de telles choses ne se reproduisent plus, que la lumière soit faite, qu’une information soit ouverte. “Nous sommes en train de suivre cette affaire. Nous ne sommes pas saisis officiellement en tant qu’organisation de défense des droits humains, mais nous rappelons les bonnes pratiques. Nous rappelons les principes pérennes et les pratiques stéréotypées en matière démocratique et en matière d’État de droit,” mentionne-t-il.Me Assane Dioma a d’ailleurs fait savoir que le procureur a peut-être actionné les services compétents pour davantage fouiner dans cette affaire. “Ce sont des procédures extrêmement graves, poursuivre quelqu’un ou déclencher une poursuite qui peut aboutir à des arrestations de personnes. Nul doute que si l’affaire allait dans le sens souhaité, l’affaire ne se résumerait pas à une seule personne. Le procureur a besoin de pousser la réflexion de voir s’il a des bases raisonnables de poursuite, mais comme je l’ai dit, il faut simplement espérer que quel que soit le temps que cela prendra, l’apaisement des angoisses sociales et fasse,” précise-t-il.
Il conclut que si des gens doivent payer pour ce qui s’est passé qu’ils payent parce qu’il y va de l’intérêt des citoyens ou en tout cas des supposées ou présumées victimes. Que si les choses étaient avérées, que justice se fasse…