«Nous avons réussi à identifier ces femmes qui ont toutes des noms de guerre. Aujourd’hui, nous avons pu établir les contacts et travaillons de façon souterraine, à faire en sorte qu’elles aient un procès équitable, mais aussi dans la mesure du possible, à ce qu’elles purgent éventuellement leurs peines ailleurs que sur le sol libyen», rassurent les autorités sénégalaises.