La mort de l’étudiant Fallou Sène, tué le 15 mai 2018 à l’Université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis, reste toujours une pilule difficile à avaler pour la famille du défunt établie à Patar. Contacté par Seneweb à la veille de l’An 1 du décès de son fils, Abdoulaye Sène «demande que justice soit rendue».
«Nous réclamons justice. À l’image de tous les Sénégalais, nous demandons que justice soit rendue dans cette affaire», a-t-il déclaré avant d’ajouter : «J’invite les autorités de notre pays à prendre leurs responsabilités, à tout faire pour que ces genres de tragédies ne se reproduisent dans les universités.»
Un an après les faits, le septuagénaire révèle qu’une partie des promesses des autorités politiques et étatiques, faites il y a un an, a été tenue tenue. «Certaines sont tenues, mais d’autres tardent à être concrétisées. Nous rendons grâce à Dieu», dédramatise-t-il.
Mais pour Abdoulaye Sène, l’important est ailleurs : «Tout ce qu’on fera pour nous, ne peut compenser la perte de Serigne Fallou. Il était un fils exceptionnel qui m’aimait beaucoup. Je ne l’oublierai jamais. Nous sollicitons des prières pour le repos de son âme. Nous rendons grâce à Dieu. C’est Lui qui nous avait donné Fallou et qui l’a arraché à mon affection au moment où j’avais le plus besoin de lui.»
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