« Ils sont résolus à aller jusqu’au bout de la grève. Nous craignons le pire, car déjà, nous sommes dans une situation extrêmement délicate du fait que c’est la première fois que dans un seul dossier on a des lieux de détention différents. Cela dit qu’il est temps que l’administration pénitentiaire prennent ses responsabilité », indique la robe noire sur la Rfm.
Dans un tel cas de figure, selon Me Bâ, l’administration pénitentiaire doit faire le point tous les jours pour informer les familles des détenus de leur situation. Dans cette grève de la faim, elle doit leur présenter des plats et faire un rapport à la hiérarchie, ainsi de suite.
Arrêtés le vendredi 26 novembre dernier devant les grilles du palais de la République, lors d’une manifestation non autorisée contre la hausse du prix de l’électricité, Guy Marius Sagna et compagnie ont entamé mardi une grève de la faim.
Les derniers chefs de prévention retenus contre eux sont: « Acte de nature à compromettre
la sécurité publique, à occasionner des troubles politiques graves et à jeter le discrédit sur les institutions politiques et leur fonctionnement; incitation à la révolte, attroupement ayant occasionné des troubles à l’ordre public, participation à une manifestation interdite, rébellion, violences et voies de fait sur des agents de la force publique ».En matière de politique extérieure, le duo Diomaye-Sonko danse la tango, c’est-à-dire un pas en…
Ce dimanche, l’arène sénégalaise a été le théâtre d’un affrontement très attendu entre Sa Thiès…
«J’ai proposé au président Ouattara de convoquer, une nouvelle session de la Grande commission mixte…
Dans le projet gazier Yakaar-teranga, British Petroleum (Bp), s’était retiré du fait de divergences de…
Ce mardi, la Chambre criminelle de Dakar a rendu son verdict dans l'affaire du trafic…
Poursuivis pour violence et voie de fait, D. Diagne et ses voisins, au nombre de…