Une unité paramilitaire contrôlée par le Président gambien de l’époque, Yahya Jammeh, a sommairement exécuté plus de 50 migrants ghanéens, nigérians et autres ouest-africains en juillet 2005, ont déclaré Human Rights Watch et Trial International hier.
Des entretiens avec 30 anciens fonctionnaires gambiens, dont 11 officiers directement impliqués dans l’incident, révèlent que les migrants, en route pour l’Europe, étaient soupçonnés d’être des mercenaires désireux de renverser Jammeh, raison pour laquelle ils ont été assassinés, après avoir été détenus par les plus proches hommes de main de Jammeh, la marine et les forces de police. Les témoins ont identifié les «Junglers», une unité notoire qui prenait ses ordres directement de Jammeh, comme ceux qui ont perpétré les tueries, rapporte Freedom neewspaper.
«Les migrants ouest-africains n’ont pas été assassinés par des voyous, mais par un escadron de la mort paramilitaire prenant
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